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La dépression

La dépression, voila une maladie dont on parle peu ou pas et qui n’est souvent même pas considérée par les intéressés eux-mêmes comme une maladie. Il faut savoir que 10% des français ont fait ou feront une dépression et que les femmes sont deux fois plus concernées que les hommes.

Alors il faut bien connaître les signes dépressifs afin de savoir l’identifier suffisamment tôt. Le plus vite elle est identifiée, le mieux on peut se soigner et réduire son ampleur. Le sentiment d’abandon de solitude et d’exclusion qui s’empare de la personne freine ses capacités à percevoir le mal. Les psychiatres que l’on craint beaucoup sont tout à fait compétents pour soigner l’âme et le corps. Le corps est important, très important.

La dépression nerveuse est rarement identifiée par des non spécialistes. Souvent, alors qu’elle est déjà très avancée, ni l'entourage proche, ni même le médecin n'y pensent. Les plaintes apparaissent banales, beaucoup croient que tout va rentrer dans l'ordre avec quelques bonnes paroles et un peu de volonté de la part du patient. Ah ! La volonté, il faut savoir que la dépression anéanti totalement toute volonté. Ceci n’est pas assez dit et répété, exiger de la volonté d’un dépressif c’est exiger d’un paralytique qu’il marche ou d’un aveugle qu’il voie. Le malade lui-même ne le sait pas et se déconsidère à ses propre yeux ce qui aggrave les choses. Il faut que son entourage le laisse tranquille. C’est le point numéro un.

 

La dépression est un trouble de l'humeur ou du psychisme pouvant résulter de l'interaction d'un ensemble de facteurs biologiques (déséquilibre dans la chimie des neurotransmetteurs du cerveau), psychologiques et sociaux (ex : divorce, chômage, risque de licenciement, stress, endettement important, isolement social, etc.). Il s'agit d'une affection médicale à haut risque,  sous diagnostiquée et sous-estimée.
Elle est caractérisée par la persistance des symptômes suivants :

 

 

1 Tristesse permanente (jusqu’à pleurer).
2 Perte d'intérêt : tout est morne, sans relief, manque de motivation, perte de volonté
3 Irritabilité, mal de vivre
4 Troubles du sommeil
5 Fatigue, manque d'énergie
6 Dévalorisation de soi, sentiment d’échec, « je suis bon à rien »
7 Pensées suicidaires, à quoi bon vivre ? Avec cette grande souffrance morale.

 

Si plusieurs de ces symptômes sont présents depuis 2 semaines ou plus, sans qu’il y ait de répit, on peut parler de dépression.

 

La dépression a la caractéristique très importante de nous empêcher de continuer à assumer nos activités quotidiennes. Nous croyons que c’est parce que nous sommes nuls, nous devons développer des efforts bien plus élevés qu'a l'ordinaire pour un maigre résultat. Notre entourage nous regarde avec suspicion, il pourrait faire un effort bon sang ! Mais on n’y parvient plus, c’est comme une paralysie de nos centres de décision ou encore un ressort cassé. Et vous croyez votre entourage car ce qui vous arrive est tellement invraisemblable. Allons voyons vous le savez bien que vous ne faites pas semblant et que ce poids énorme vous écrase. Parlez-en à votre médecin il doit pouvoir vous comprendre. Être compris, pouvoir dire ce qui nous arrivent est le premier pas vers la guérison. On n’a pas honte d’attraper la grippe, ni de faire un infarctus alors il ne faut pas avoir honte du fait que les neurotransmetteurs du cerveau fonctionnent mal et doivent être soignés.

 

Pendant la phase des soins il faut se laisser aller, se vider l’esprit, faire abstraction de ce que pensent « les autres » après tout qu’ils pensent ce qu’ils veulent et soignons nous. Comme dans la fable du chêne et du roseau prenons le rôle du roseau et plions sous l’orage pour ne point rompre.

 

La dépression saisonnière s'installe à l'automne ou au début de l'hiver et dure jusqu'au printemps. Ses symptômes sont ceux de tout épisode dépressif : tristesse permanente, perte d'intérêt, irritabilité,  troubles de sommeil,  pensées suicidaires. Les symptômes de la dépression saisonnière se distinguent de ceux des blues de l'hiver, lesquels ne nous empêchent pas de continuer à assumer nos activités quotidiennes.
Dans tous les cas, une dépression doit être prise au sérieux, et traitée. Parlez-en à votre médecin et décrivez bien vos symptômes sans en avoir honte.

 

La dépression est parfois une forme d’agressivité que l'on retourne contre soi au lieu de la retourner contre le ou les événements et personnes qui en sont à l’origine. Inconsciemment nous nous rendons responsable de cette situation alors que nous en sommes les victimes. Cette agressivité est autodestructrice, elle s’additionne au mal être qui nous vient de l’extérieur et enclenche un cercle vicieux qui s’auto alimente.

Il est particulièrement intéressant de commencer à extérioriser cette agressivité retournée donc contre nous par le sport.

Il faut ensuite trouver son origine éventuellement à l’aide d’une psychanalyse ou d’une psychothérapie et crever l’abcès avant qu’il ne nous crève.

RJ       

 

Pour rester sur une note plus gaie allez voir la page Savoir se faire plaisir.  Restons ZEN est aussi pas mal

 

Certaines périodes de la vie sont plus à risque que d’autres, c’est le cas de l’adolescence, des jeunes adultes, des femmes après l’accouchement et des personnes âgées.

 

 

La dépression

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Oiseau-de-Pluie le 28-12-2013. Critiques
"On n’a pas honte d’attraper la grippe, ni de faire un infarctus alors il ne faut pas avoir honte du fait que les neurotransmetteurs du cerveau fonctionnent mal et doivent être soignés."

--> La dépression n'est pas forcément liée à des déséquilibres chimiques dans le cerveau !!
D'ailleurs, on peut souffrir de dépression pour je ne sais combien de raisons différentes : untel sera dépressif à cause d'un viol, un autre à cause d'un ou de plusieurs deuils, un autre à cause d'une agression, un autre à cause d'un chagrin d'amour, etc... La liste est longue !

Et sachez que dans tous ces cas, la dépression n'a rien à voir avec un déséquilibre chimique, mais simplement à cause du facteur déclenchant.
Si une personne devient dépressive suite à la perte d'un être cher, par exemple, cela peut sembler logique car la perte d'un être cher est une extrême souffrance, il est NORMAL d'en souffrir... Ce sera la cause de sa dépression, donc. Et sa dépression n'aura rien à voir avec des quelconques neurotransmetteurs, car si la personne qu'elle a perdu revenait par miracle à la vie, eh bien la dépression de la personne en deuil disparaîtrait comme par magie !
Pour un chagrin d'amour, c'est pareil...
Etc, etc.

Personnellement, moi je souffre de dépendance affective depuis l'âge de 13 ans et j'en ai 19.
Je résume : si une personne est gentille avec moi, je suis au paradis, mais si elle est méchante, je plonge en enfer.

J'ai été droguée de tous les antidépresseurs, anxiolytiques et même neuroleptiques qui existent depuis plus de 5 ans & demi, donc ! Est-ce que ça a changé quelque chose à mon mal-être ? Absolument rien.
Même si je suis bourrée de 10 000 médicaments, si cette personne me rejette, je vais très mal.
Mais, en revanche, même avec AUCUN médicament, si elle est gentille avec moi, par miracle je me sens mieux d'un coup.

Aussi, sur votre site, vous écrivez une phrase insupportable :
"Les psychiatres que l’on craint beaucoup sont tout à fait compétents pour soigner l’âme et le corps. "

--> Si vous croyiez que les méthodes barbares telles que la contention, les chambres d'isolement, le bourrage de médicaments jusqu'à vous transformer en légume et les électrochocs datent du moyen-âge, vous vous voilez complètement la face. Elles existent hélas toujours.
Seule la lobotomie a entièrement disparue.

Personnellement, les psychiatres m'ont complètement enfoncé et j'ai vécu l'un des pires traumatismes de ma vie dans un hôpital psychiatrique (que je qualifierai plutôt d'asile psychiatrique !)
J'ai été sanglée sur un lit, bourrée de 50 gouttes de Tercian à l'âge de seulement 18 ans (résultat : maux de têtes atroces, vertiges abominables, vision extrêmement floue, nausées, impossibilité totale de tenir debout et écroulements dans les couloirs !!!), enfermée avec des fous...
Bref, j'ai vécu un pur ENFER, pour tout dire.

Fuyez les psychiatres, oui...


Mathilde le 1-8-2013. dépression
Et ben, tous ces symptômes à cause d'une belle-mère...incroyable je croyais que c'était juste dans les films ou les contes de fées moi !!!
En attendant c'est vraiment intéressant tout ça


Jean le 28-7-2010. Bonjour Marie-Francefri
Rappel toi la fable du chêne et du roseau : le chêne si fort qui a résisté à la tempête à été déraciné. Le faible roseau qui s'est plié à résisté et s'est relevé après l'orage.
La dépression est un orage auquel on ne peut résister alors il faut surtout ne pas résister, prendre son mal en patiente et un jour l'orage passe.
mais pour que l'orage passe il faut aussi se soigner et consulter un psychiatre et en changer tant qu'on à pas trouvé le bon.
Ils sont tous bons mais il y a une question de feeling, il faut que le courant passe pour que le psy obtienne des résultats.


marie-francefri le 27-7-2010. dépression
Je suis épuisée de lutter contre la dépresion depuis plusieurs années. Je suis tombée au "fond du puits" suis remontée et cela recommence. ce qui me retiens de ne pas mettre un terme à ma souffrance ce sont mes petits enfants mais ils grandissent et ne s'interesseront plus à moi d'ici qq années. Ma vie est cruelle


RJ le 27-3-2009. Bonjour coco31

Bravo l'amour, le meilleur moyen d'oublier la dépression. Tous mes voeux de bien être.


coco31 le 26-3-2009. a tous les depressifs

je suis amoureuse et je me sens tres bien.la depression je les mis au placard. pourvu que ca dure tchao tous l monde


Robert le 10-12-2007. Bonjour Senda

Question délicate, ce qu'il ne faut pas dire d'abord c'est remue toi, secoue toi, quand on veux on peux, etc. Car dans son cas il ne peut rien de tout ça et ça le déprime encore plus d'être aussi nul.
Il faut au contraire lui dire qu'il peut se laisser aller, que tout ça n'est pas grave, protéger son environnement et évitant de l'obliger a prendre des décisions, en le laissant se reposer le plus possible et l'inciter à se faire des petits plaisirs. Les choses s'amélioreront petit à petit mais c'est parfois long et très dur pour l'entourage.
Surtout consulter un psychiatre.


Senda le 9-12-2007. Guérison

Que peut-on dire à un proche dépressif pour l'aider à aller mieux ?


Jean le 17-1-2007. Merci Aleph00

Voilà des informations intéressantes.


aleph00 le 17-1-2007. Médecine

Pour la dépression, les médecins traditionnels prescrivent des antidépresseurs aux effets contestables (dont éventuelles accoutumance), et qui, s'ils aident à passer un cap difficile, ne permettent que rarement de s'en sortir.

Le docteur Seignalet rapporte dans son livre « l'alimentation ou la troisième médecine » avoir fait sortir 30 patients sur 30 de la dépression grâce à son régime. (voir aussi mon avis sur ce livre) Je connais aussi d'autres personnes qui s'en sont sorties grâce à ce régime.

Les causes alimentaires de la dépressions évoquées (et généralement prouvées) par différents auteurs sont les suivantes :
- Une perméabilité de l'intestin au gluten, qui perturbe le fonctionnement du cerveau. Le rôle de la phytine (contenue dans le blé, le seigle et l'orge) est aussi évoqué.


Pour lutter contre la dépression, le régime doit donc être :
Sans gluten
Sans excès de sucre (pour éviter hyper et hypoglycémie)
au moins pauvre en laitages
enrichi en Oméga 3, particulièrement d'origine marine
Riche en fruits et légumes
riche en magnésium (supplémentation conseillée voire obligatoire)
sans oublier quelques vitamines, et particulier du groupe B. Le chocolat noir est aussi réputé avoir un effet favorable.


Le régime du Docteur Seignlalet , le régime Crétois (en excluant totalement le blé) ou le régime de l'ile d'Okinawa conviennent, et mènent à la guérison. Ces régimes ne sont pas des régimes amaigrissant, mais peuvent aider à faire perdre les kilos superflus. Ils ont en outre des effets très bénéfiques sur une centaines d'autres maladies souvent graves, et améliorent nettement la forme de tous les jours et la longévité. Pour se faire assister dans le suivi de ce régime, il convient d'en parler à un médecin qualifié, que l'on pourra trouver grâce au secrétariat de l'association Seignalet (ou grâce au forum en lien sur le site Seignalet.fr). Il est important d'être strict dans le régime car un régime suivi à 90% n'a qu'un demi-effet.

Durée et effet du régime : Pour une personne n'ayant pas de graisses superflues, les effets du régime se font sentir très rapidement (dès la première quinzaine). Par contre, lors de tout amaigrissement, les toxines stockées par l'organisme dans les graisses sont diffusées dans le sang, et les symptômes réapparaissent. La santé revenue, la maladie oubliée, il est préférable de poursuivre le régime pour éviter toute rechute. On pourra alors se permettre plus d'écarts.

Difficulté du régime : le régime peut paraître difficile à suivre, mais le bénéfice est tel que la contrainte de son suivi paraît très légère à coté des bénéfices qu'il procure.

Autres élément bénéfiques : sport, psychologie...
Lire : Okinawa, un programme global pour mieux vivre de JP Curtay



 

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